Afap au Festival des Humanités, à Cenne-Monestiés du 31 août au 3 septembre 2023

Un nouveau partenariat se dessine pour Afap, avec les Humanités, un média en ligne dirigé par Jean Marc Adolphe (ancien rédacteur en chef de la revue Mouvement). Les Humanités initient, parallèlement à leur activité de journalisme politique et culturel, un festival : le festival des Humanités. Dans ce cadre, nous contribuerons à animer un espace de discussions et de réflexions, lors de la première édition du festival, à Cenne-Monestiés, dans l’Aude, sur le site d’une ancienne usine en cours de reconversion.

Quels lieux entre politique culturelle et pensée politique de la culture ?

Scènes musicales, friches culturelles, lieux intermédiaires, tiers lieux, la dénomination des lieux culturels ces dernières décennies reflète le sens et les enjeux accordés à la culture dans la société à un moment donné. Effectivement, ils sont le point de jonction entre des dispositifs territoriaux et des processus artistiques.

Forum politique / Fédération des murs à pêches – 4 et 5 juin

Artfactories/autresparts sera présent les 4 et 5 juin au Forum Politique “Communs – Reprise de terres urbaines” à Montreuil qui s’organise dans le cadre du 20è Festival des Murs à Pêches. Nous initierons avec des acteurs de cette fédération, mais aussi avec des représentants de l’Après M à Marseille, de la Jolie Colo dans le Vercors et des associations Mix’Art Myrys/Mixagrumes basées à Toulouse un nouveau chantier autour des communs de l’alimentation.

Rencontre culture et commun(s) – La place de l’art et de la culture dans la fabrique de coopération sur le territoire

Nous vous donnons rendez-vous les 16 et 17 juin au Café Lib’ de Bourrou en Dordogne (à 30 mn de Périgueux) pour un atelier de réflexion autour de 4 projets et démarches initiées sur le territoire : la Gare mondiale de Bergerac, le projet Sîlot, pôle de l’ESS et des Cultures urbaines de Coulounieix-Chamiers, le Café Lib’ de Bourrou et la Maison Forte de Monbalen (Lot-et-Garonne).

 

                   

 

                   

Il faut sauver Mix’Art Myrys – L’appel des Lieux intermédiaires et indépendants

En ces temps de pandémie, les lieux de culture sont fermés. À la fois lieux de vie, lieux de rencontre, lieux de formation de nos imaginaires, lieux d’élaboration de nos rêves, de partage de nos désirs et de transformation de nos représentations, ces lieux jouent un rôle essentiel dans la vie sociale et la vie morale de nos concitoyens. Les fermer porte une atteinte inédite aux droits culturels d’une société toute entière. Voilà donc une situation exceptionnelle et qui ne doit durer que le plus court moment possible.

Fermeture administrative confirmée pour Mix’Art Myrys et subventions “suspendues”

Le 12 rue Ferdinand Lassalle à Toulouse, abritant les activités du collectif d’artistes autogéré Mix’Art Myrys, membre d’Afap et de la Cnlii, était menacé depuis mi janvier d’une fermeture administrative. Celle-ci a été confirmée par arrêté le 20 janvier. Depuis, le collectif a aussi appris que le Conseil métropolitain n’avait pas reconduit sa subvention annuelle au mois de décembre sans même en avoir été préalablement averti.

Third places or the art of doing it upside down

Third places are beautiful attempts at concrete utopias, born of a deep desire for freedom. Unfortunately, they are also a perfect tool to complete the reversal of public cultural policy. The neoliberal ideology does not hesitate to label and institutionalize the precariousness of third places, for its benefit.

Tercer lugar o el arte de hacerlo al revés

Los terceros lugares son hermosos intentos de utopías concretas, nacidos de un profundo deseo de libertad. Desafortunadamente, también son una herramienta perfecta para completar la reversión de la política cultural pública. La ideología neoliberal no duda en etiquetar e institucionalizar la precariedad de los terceros lugares, en su beneficio.

À quoi tenons-nous ?

Dans cette période de reprise progressive des activités et de sortie partielle de déconfinement, la CNLII poursuit le travail engagé d’auto-description de nos attachements. Il vise à établir ce que cette crise pourrait être l’occasion de rompre, ou au contraire de nouer, dans nos pratiques.

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