Les tiers lieux sont des belles tentatives d’utopies concrètes, nées d’un désir profond de liberté. Ils sont hélas aussi un parfait outil pour achever le renversement de la politique culturelle publique. L’idéologie néolibérale n’hésite ainsi pas à labelliser et à institutionnaliser la précarité des tiers lieux, pour son profit.
Lire cette tribune de Michel Simonot sur le site Profession Spectacle :