En 2017, Artfactories/autresparts initiait un programme général de recherche et d’action autour de la notion de «commun(s) et pratiques d’espaces» auquel chacun des membres de l’association était invité à contribuer. L’année 2018 a permis de creuser ce fil de ces réflexions sans perdre celui des actions, pour, tel que le recommandait Foucault lisant l’Anti-Oedipe, utiliser “la pratique politique comme un intensificateur de la pensée, et l’analyse comme un multiplicateur des formes et des domaines d’intervention de l’action politique.”

En 2017, Artfactories/autresparts initiait un programme général de recherche et d’action autour de la notion de «commun(s) et pratiques d’espaces» auquel chacun des membres de l’association était invité à contribuer. Trois grandes questions étaient alors soulevées :
1) Quelle place prennent nos pratiques au sein de la grande famille des pratiques d’occupation d’espaces ? Quels sont les liens entre ces pratique d’espaces et le renouveau de la question du/des commun(s) ?
2) Comment ces pratiques s’inscrivent-elles dans l’espace public au moment de la métropolisation et depuis la façon dont le fait métropolitain remodèle les politiques culturelles ?
3) De quelle écosophie ces pratiques relèvent-elles ? C’est à dire, en tant qu’elles relèvent de la production d’un milieu commun, comment ces pratiques d’espace permettent-elles de déjouer l’opposition entre Nature et Culture ?

L’année 2018 a permis de creuser ce fil de ces réflexions sans perdre celui des actions, pour, tel que le recommandait Foucault lisant l’Anti-Oedipe, utiliser « la pratique politique comme un intensificateur de la pensée, et l’analyse comme un multiplicateur des formes et des domaines d’intervention de l’action politique. »

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