La politique culturelle nantaise consiste à concentrer les pouvoirs et les budgets autour des plus grosses structures qui engloutissent la majorité des subventions publiques, délaissant, au passage, les associations locales et les artistes nantais, qui font pourtant la richesse de notre ville. Son fer de lance est le Voyage à Nantes, une entreprise dédiée principalement à l’attractivité touristique : Elle regroupe en son sein la gestion de l’office du tourisme, du château des Ducs de Bretagne, du Mémorial de l’abolition de l’esclavage, des Machines de l’île, de la HAB galerie au Hangar à bananes, des Nefs ou encore des parcs des chantiers… dixit la liste Nantes en commun, candidate aux prochaines élections municipales, et représentée lors de la rencontre organisée par la Cnlii le 23 janvier dernier.
Oui à la créativité, stop à la culture vitrine > le programme détaillé sur le site https://municipales2020.nantesencommun.org/
Photo : Vue aérienne de l’Île de Nantes, depuis son extrémité amont (Nantes, France)